Workgroup 5, Part 2, Suggestions

FRANCAIS

discussion - Part 2 :

nous ne pouvons pas arriver à des conclusions en si peu de temps.

  • d’un point de vue d’étudiante : égarée déjà avec le statut d’étudiant.e –> la question du revenu de base. (qui s’était également posée pour les étudiant.e.s). Le revenu universel de base aide ou le creuse ?
  • Revenu universel : en dehors des cotisations sociales - salaire à vie ?
  • d’autres propositions sont possibles de revenus universels qui pourraient être en lien avec la sécu (avec des modèles mixtes avec la Sécu, ou moins mixte).

  • tout le monde souhaite que le travail, même invisible, soit reconnu et compensé par une rémunération. (et non pas à hauteur de son génie/talent, mais bien en lien avec son travail.).

  • Pour évaluer ce travail invisible, il faut trouver des règles, qui soient très différentes en fonction de chaque cas. mettre en place des barèmes et des critères qui chiffre le travail non visible.

  • faire le même type de procédé “Juste ist Juste”, en francophonie : où des structures et institutions puissent adhérer à cette charte.

  • barèmes salariaux à faire respecter : Obligation de passer par des espaces de travail hors contrat en vue d’aboutir à un projet rémunéré: cercle vicieux –> il n’y a pas assez de financement (très important de le rappeler) –> il faut trouver des solutions pour cela.

  • demander plus d’argent // dénoncer une problématique systémique pour que l’état en arrive à la conclusion qu’il faut + d’argent pour le secteur culturel. problème systémique: l’état doit arriver à la conclusion qu’il faut + d’argent pour le secteur culturel

  • blocage de tous les côtés –> l’enveloppe fermée est-elle une fatalité?
  • réfléchir les barèmes en fonction d’une sécurité sociale –> les artistes n’ont pas d’employeurs, comment reflechir avec cette spécificité ?
  • les artistes, comme il n’y a pas d’employeurs, cotiserait plus que les autres métiers.

  • question : faut il des obligations pour les employeurs et les institutions en terme de barème ?

  • rendre visible le travail invisible: montrer la quantité de travail nécessaire (quelle que soit la discipline) pour tel projet

  • créer des bourses étapes (pour chaque étape de travail) - reconnaitre ainsi le travail en amont des spectacles, et la nécessité de la recherche.

  • les bourses type CAPT pour l’art vivant : la bourse de recherche est trop basse –> ne permet pas de financer des salaires. bourse pour les spectacles : également trop basse pour envisager des temps de travail correct –> il faudrait augmenter les montants. d’autant que ces aides sont extremements concurentiels.
  • peu de coproducteur.
  • dans les arts plastiques : problèmes, également de financement qui sont trop bas.

  • la pandémie a mis à jour, notamment la précarité étudiante, et dans les plastiques : qu’une fédération des arts plastiques c’est constitué dans cette crise : et qui propose un système pour répondre aux nécessité des plasticiens.

  • idée, comme au Canada : (système de laFAP, à perfectionner –> barême faits au ratio de rayonnement du centre d’art (sous-régional/régional/national/international) barême pour estimer subvention/rémunération de projet
  • question des coefficients: respecte-t-elle les questions d’équité hommes/femmes? en tout cas, interessant pour valoriser les moments de créations faits en amont. (un coefficient qui représente le temps de travail en amont d’une représentat–> avec le soucis de la diffusion qui est parfois mince.
  • logique de calcul proportionnel, pour rémunérer (point de départ intéressant)

  • faut-il créer un fonctionnement décisionnaire spécifique pour permettre aux artistes d’être présent.es (càd qui soit aussi compatible l’emploi du temps particulier des artistes) –> d’un côté, cela prend déjà beaucoup de temps aux artistes, alors on se demande, est-ce à elleux de faire ce travail des administrations ?

  • faudrait il adapter les horaires de travail des comités de décisions, en prenant en compte, dans l’emploi du temps, des réalités d’emploi discontinues : faire des sessions de travail type timing residence.
  • informer (et mieux former?) les administrations de nos réalités, mais pas faire les métiers d’administrations à leur place ?
  • comment valoriser aussi le travail (bénévole) des artistes sur ces questions de statut? il y a de nombreux endroits où les artistes ne sont pas rémunérés pour faire de la recherche, du débat, des propositions sur leur situation socio-économique –> peut-on (comment) y remédier? rendre public le débat ≠ question de la rémunération de la recherche autour de ces débats il est compliqué aussi pour les artistes de se rassembler. Militantisme? Rassemblement citoyen? Travail de reconstruction/reconfiguration? –> le travail militant doit il être rémunéré, ou alors, est ce du travail citoyen que l’ont fait gracieusement ?

  • pas de transparence sur les jurys: très problématique + question de visibilité des acteur.ices de nos secteurs, à chaque niveau de décision –> il faut des représentant.e.s du secteur.

  • présence et rémunération dans l’instance décisionnaire (deux questions différentes) / droit de regard / connaissance précise au sein des commissions d’évaluation –> il faut que des artistes puissent faire part de leur réalité aux instances de décisions // autre avis : ils faut que les artistes tiennent au courant de leurs besoins aux admins.
  • bonne protection (chomage, sécu) + emploi –> il faut garder ces questions liées.

artiste non : c’est la discontinuité de nos moments d’emploi qui nous caractérise : il faut penser une formulation la plus inclusive possible.

5. Suggestions pour le ministère de la culture Fédération Bruxelles Wallonie

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5. Suggestions for ministry of Culture of the Federation Brussels and Wallonia

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