Workgroup 5, Part 1, Problems

FRANCAIS

5. Problèmes liés à la politique culturelle en Féderation Bruxelles et Wallonie

“Il faut continuer à oeuvrer pour la rémunération équitable des artistes. Par ailleurs, tant que les organisations restent sous-financées et /ou qu’un financement alternatif n’est pas disponible, il y aura un repli partiel sur les allocations de chômage. En d’autres termes, les organismes sous-financés partent du principe qu’un-e artiste ne peut être que partiellement rémunéré pour le travail qu’il accomplit. Et cela crée un cercle vicieux, qu’il importe de briser avec la mise à disposition de ressources supplémentaires ».

Extrait de la note de SOTA 5.4 « suggestions pour le ministère de la culture ».

Sous- questions qui peuvent être évoquées aujourd’hui :

Sous-financements de la culture et statut d’artiste

Comment intégrer les artistes et les fabricant.e.s de l’art dans les processus et les instances décisionnaires ? (Exemple de la Commission Artiste et des prises de décisions actuelles sur les financements de la culture)

La pandémie accentue la précarité mais la rend + visible : comment transformer les bourses et revenus « pansements » en des bourses solides et pérennes, qui valorisent les temps de recherches et de productions (= les temps de travail invisibles) : l’exemple du « futur de la culture » VS l’exemple néo-zélandais “on n’est pas à la recherche d’un emploi” + instaurer des coefficients ? **

Comment rendre les systèmes existants moins élitistes, moins discriminatoires ? Ex du visa de travail / chiffres F(s). L’exemple de F(s) / pouvoirs et dérives.

Il n’existe pas « un métier » artistique : comment prendre en compte et valoriser les aspects spécifiques de chaque secteur (arts vivants, danse, arts plastiques): l’exemple des arts plastiques / la FAP + l’exemple du Fonds à la création radiophonique + valorisation des métiers « invisibles » ou moins visibles : la production, les techniciens, etc.

Prendre en compte l’accès au chômage des jeunes : quelles améliorations possibles, quel système pour ne pas discriminer les autres professions ?

” La sécurité sociale pour les jeunes artistes via le budget de la culture de la Communauté flamande Une proposition visant à faciliter l’accès des jeunes artistes aux « règles spécifiques pour les artistes » via le budget de la culture de la Communauté flamande ne peut pas faire partie d’une proposition cohérente, pour la raison qu’elle institue une dépendance à un budget supplémentaire mis à disposition par la Communauté flamande. Cela peut rapidement glisser vers un statut spécialement financé comme celui de « sportif de haut niveau ». Le fait que l’État puisse déterminer qui sont les « meilleurs » artistes met en péril leur autonomie” > quid du côté francophone?

tour de parole - évoquer les problématiques :

  • comment rendre les processus décisionnaires + inclusifs.
  • garantir un dispositif équitable prendre en compte les differences dans le secteur, et en dehors; optique d’une dimension non-élitiste.
  • Comment la sphère artiste plastique peut être représentée ?
  • Administration / politique / artiste puisse + se parler et co-construire.
  • équillibrer les choix au sein de la Chambre de concertation.
  • Problème de l’accès pour les plasticiens et artistes visuels pour accéder au statut.
  • comment inclure les artistes dans les espaces decisionnaires ? car la communauté des artistes très peu de pouvoir pour influer.
  • depuis Covid : peu d’aide. ->seulement bourses pansements et chômage temporaire.
  • comment on fait pour que les artistes soient plus présents dans les rédactions de bourse ?
  • au sein de l’administration, il doit se mener un débriefing sur ces bourses qui ont été octroyer -> important que le secteur réagisse par rapport à ces bourses : faire valoir ce qui doit fonctionner mieux et autrement.
  • c’est évalué au niveau des chambres de concertation de chaque secteur.
  • un des retours : ça ne remplace pas les moyens de soutiens pérenne.
  • comment sont pensées les appels à projet : question politique.
  • pourquoi l’état doit payer ? Pourquoi y a t il subvention ? définir ça pour définir les besoins -> culture n’est pas une marchandise comme les autres. Par exemple, le fait de devoir prouver sa valeur monétaire, de demander une contrepartie, ce n’est pas normal.
  • ce qui justifie une dépense /different/ la manière qu’une dépense est mise en oeuvre.
  • l Système libérale dans les arts, et dans les arts plastiques : « certains vont s’en sortir » –> Pourtant réussite très rare. précarité.
  • comment faire pour que les artistes soient plus presents dans les instances décisionnaires
  • l’administration a rédigé ses bourses, non les gens concernés.
  • équité par seulement entre nous du secteur cutlurel, mais aussi avec les autres métiers
  • il faudrait faire un cadastre des travailleurs des arts et de la culture. –> un cadastre devrait être faite par la chambre des politiques cutlurelles.
  • économie informelle : sans rémunération, iels deviennent invisibles.
  • bareme salariaux mais pas de financements –> contradiction et paradoxe.
  • grille et système de rémunération imposé et rendre le contraire illégal. (“juste c’est juste” en francophonie ?)
  • qui controle l’évaluation pour qu’il n’y ai alors pas d’abus ? reflexion sur les controles et les systèmes d’évaluation.
  • Aurélien Catin : on parle d’artiste et travailleureuse de la culture, on se retrouve dans des métiers et des secteurs differents : carrières multiples.
  • lien de discussion entre Aurélien Catin et Marboeuf. -question des critères : Fs cherche à transformer les critères d’une commission artiste pour que ce ne soit plus relié à un nombre de jours prestés salarié, sachant que le travail est le plus souvent invisibilisé. –> artistes tirés au sort et représentatifs de differents secteurs.
  • les arts plastiques: comment les intégrer dans la discussion sur le statut d’artiste ? (là où les arts de la scène ont une mobilisation centrale) échelle politique et autre
  • trop petite liste de bourses disponibles
  • beaucoup de concurrence / difficulté d’accès
  • cercle vicieux dans le secteur des arts vivants

  • à quels endroits les artistes pourraient-iels intervenir dans les processus de décision? les rendre + présent.es dans les soutien à la recherche?

  • les bourses pansements –> comment pérenniser ces issues?

    importance de la réaction du secteur vis-à-vis des bourses et comment elles sont penser d’autres bourses vont être (re)lancées devraient être évaluées par le secteur lui-même avant d’être lancées

    délais intenables dans les processus de décision/lancement/réception

    bourses vécues comme seconde mise en concurrence méfiance vis-à-vis des bourses en devenir

    la rédaction des appels à projet / bourse est une question politique pourquoi l’Etat doit soutenir/intervenir dans l’art? –> en y répondant, on peut trouver la façon dont l’Etat finance/intervient

négociations au sein de l’OMC – culture: un bien comme les autres, donc soumise aux même lois du marchés / opposition des Etats européens, en faveur de l’exception culturelle

pourquoi la subvention (del’Etat)? qu’est-ce qui est visé au travres de ce soutien? renvoie à un certain type d’idéologie sur les façons de faire/ce qui est fait l’action dans le champ social doit être évaluée de manière gloable et non individuelle

justifier une dépense (décisions politique) / comment est faite la dépense

  • des systèmes d’évaluation du travail? (–>

résumé groupe 5 part 1 :

  • nous étions un petit groupe -> arts plastique et art vivant
  • comment considérer spécificités des métiers
  • comment chiffrer travail invisible : le fait qu’il n’existe pas vraiment de barème, ni de cadastre pour pouvoir references des choses.
  • artistes + présents dans les artistes et instances décisionnaires (commission artiste).
  • bourse “pansements” : problématique puisqu’on demande aux artistes d’écrire de nouveau projet - et pas assez nombreuse.
  • économie informelle et manque de transparence.

la question du genre : - coefficient qui vise à régler la question du travail invisible : créer quelque chose pour prendre en compte le travail invisible : utiliser un coefficient multiplicateur –> une activité serait multiplié par un coefficient pour prendre en compte des critères ? - fs : prendre en compte le travail non rémunéré : critère de travail invisible. culture, art, repenser le travail est necessaire. - changement du statut de co habitant.e.s

à rajouter :

  • pas de lieux commun pour tout les travailleurs autonome.
  • question de barème compliqué : pour les jeunes travailleurs : une majorité du travail se fait de manière non rémunéré, pour permettre ensuite une rémunération : obligation de payer : on dit au revoir à tout les jeunes travailleurs.
  • Les gens qui travaillent veulent se payer —> il faut à la fois augmenter les subventions pour pouvoir cotiser et à la fois protéger les travailleurs pendant les périodes de non rémunérations.
  • rapatrier les frais de batiments et de fonctionnement sur d’autres ministères.

Jeanne / kask anne

NEDERLANDS



ENGLISH

5. Problems of cultural policy in Federation of Brussels and Wallonia

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